Bonjours,
Pour moi préserver les potentiels des sols passe d'abord par un taux de MO suffisent, puis-ce que ceci permet de lutter contre l'érosion, chose sensible par chez nous, parallèlement elle permet de maintenir voire d'augmenter la fertilité des sols et sous-sols cultivés.
Il est certain que la rotation culturale appliqué détermine, quantité et qualité d'apport de MO, le travail du sol réalisé (profondeur, fréquence, émiettement) lui conditionne les quantités de MO sortantes, or il faut chercher un bilan humique positif.
Ainsi en polyculture-élevage, les exportations sont bien souvent compensés par les apports de fumiers et autres amendements organiques. Pour les exploitations sans élevages qui sont les premières toucher par ces baisse de fertilité des sols, il y a pour ma part urgences a implanter des couverts végétaux en associant légumineuses et non légumineuses, ces couverts vont permettre un transfert de MO au sol à partir de leurs racines (effet rhizosphérique), ce qui va permettre d'augmenter la biomasse microbienne, puis après destruction, les couverts vont constituer une entrée de MO.
Pour le travail du sol, celui ci doit être minimisé de manière a éviter les pertes de MO et la destruction de la fertilité biologique des sols.
Cela n'est que mon avis, que j'ai constituer au fur et à mesure de mes rencontres.
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Cordialement
Mimizan
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